21 mai 2010
188.Où le roman se révèle être l’art des coïncidences
La jeune chinoise regarde Eduardo d’un air apeuré mais elle ne
répond rien. Il insiste. Elle fait un signe de la main comme pour dire non,
secoue sa tête de gauche à droite. Il insiste. Elle se lève. Il la retient par
la main : — Ne vous sauvez pas comme ça, nous avons à parler… Elle
se débat, hurle dans une langue qu’il ne comprend pas. Il suppose que c’est du
chinois. — Calmez-vous, je ne vous veux pas de mal. Elle hurle de plus
belle. De jeunes chinois s’approchent, menaçants. L’un d’entre eux attrape Eduardo
par une... [Lire la suite]