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Une histoire sans fin
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14 décembre 2008

Arthur Cottard et Léna Matoute profitent du départ des parents d’Arthur pour l’hôpital

Léna Matoute tire sa réalité du pénis de son amant; "Nunca he venido tan fuerte..." Léna a les seins qui tombent, l'amour est comme une danse, un homme au corps lourd. "Nunca he venido tan fuerte..." Léna Matoute fait l'amour - son sexe est plein de celui de l'homme. Mademoiselle Matoute soupire, maintenant elle peut vaincre: sa chatte est rouge sous la langue de son amant... Elle s'abandonne dans un râle. Poitrine et seins ruisselants... Arthur Cottard soupèse ses seins, Léna le chevauche longuement; son corps est fébrile et nerveux ! Arthur cherche à ménager ses forces pour durer. Léna a besoin de toute cette sensualité perçante qui peut être horrible - abandon et fureur ! Elle relève ses jambes, offre son sexe comme un bouquet rouge et luisant... Léna Matoute sent ses seins qui se gonflent. Un jeune homme aux muscles d'acier… Léna s'agite, sent la verge se dresser contre elle avec une force surprenante... Elle tient sa vie du pénis de son amant, Elle sent ses seins qui se gonflent... Ils transpirent beaucoup, halètent, s’agitent en tous sens. Arthur Cottard mord son ventre, Arthur Cottard l'empale... Léna sent le souffle d’Arthur contre ses cheveux. Léna Matoute ne pense qu’à ce sexe d'homme, d’homme jeune; elle touche son ventre, son sexe, et il est plein, Arthur Cottard l’étreint, ses jambes emprisonnent la tête de la jeune femme, s’attarde autant que possible... Léna provoque elle-même sa propre jouissance... Ses cuisses s'entrouvrent, se frottent sur sa peau; le désir la laisse avec un tremblement dans tout le corps comme un fil qui vibre, les caresses la rendent de plus en plus ivre ! Arthur Cottard lui donne ce bonheur du corps qu'elle préfère à tous, elle aspire l'homme en elle comme si son sexe ouvrait les portes successives d'une jouissance nouvelle. Elle perd la tête... est pleine de l'odeur forte de l'homme, ses cuisses s'entrouvrent comme si son sexe parcourait sans fin un labyrinthe de jouissances infinies. Léna dérive dans un monde de sensations... Elle aime la sensation que procure cette machine chaude qui bat son corps, celui-là ou un autre, mais c’est celui-là qui la force, s’enfonce en elle, la pénètre, s’empare d’elle, devient elle… Léna Matoute se rend compte qu'elle ne peut rien faire contre cette force, cette volonté physique: son corps est fébrile, nerveux, impatient; Arthur a des poils très noirs au-dessus de son membre; elle le prend dans sa bouche. Il la caresse, lui tient les cheveux, plaque sa tête contre son ventre. Léna respire profondément l'odeur chaude, végétale, du sexe de son amant. Arthur soupèse ses seins, les pétrit, elle est proche de l’inconscience, elle pousse des reins, frotte ses cuisses au torse de son amant, Arthur bande sans cesse, sa pine est dure comme de l'acier, ses muscles résistants de jeune homme sportif donnent à ses mouvements une force qui éveille le désir le plus écumant, sa langue fouille le sexe de la jeune femme, mêle sa salive à ses sécrétions… odeur de champignon, de gibier, odeur forte, goût fort, le goût du désir... Les corps changent sans cesse de position,se frottent, s’étreignent, se froissent, se mêlent… Léna donne ses lèvres, aime le poids du corps sur le sien - Arthur embrasse goulûment ses seins, les caresse de sa bite; Léna ne rêve jamais d'amour seulement de désir, Léna ne veut rien d'autre que du sexe et c'est tout ce que Arthur veut d’elle : elle pétrit la douce chaleur odorante d'un corps, d’un corps d’homme... Léna Matoute retrouve la mémoire de tous ceux qui l'ont possédée, qui se sont enfoncés en elle, elle est toute tendue vers la jouissance, sa vie n’est rien d’autre. Ils sont tout entiers dans l’instant.

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